Travaillant dans le milieu médico-social depuis 25 ans, et ayant travaillé en EHPAD, Soins Palliatifs, et dans des Services d’ Accompagnement et d'Aide à Domicile, j’anime maintenant des « Groupes de Parole » et « Analyse des Pratiques Professionnelles » pour les salariés travaillant dans des structures médico-sociales. Vous êtes directeur, chef de service, référent qualité, n’hésitez pas à me contacter pour mettre en place des groupes de parole pour vos équipes afin de repérer et prévenir les risques psycho-sociaux, d’accompagner la question du travail de deuil, repérer des situations de maltraitance, etc …
En tant que Psychologue Clinicienne, et en parallèle à mon activité en libéral (cabinet situé à Pontoise), j’interviens également dans les établissements médico-sociaux dans tout le Val d’Oise (95) pour animer des « Groupes de Parole ».
Les groupes de parole que je propose sont à destination
Après accord sur une proposition de prestation écrite, je propose une contractualisation de celle-ci. Les conditions de cet accord incluent :
Un groupe de parole est une pratique de psychothérapie qui rassemble plusieurs personnes, patients, membres d'un personnel, familles, généralement autour d'un thème prédéfini afin de permettre l'expression de conflits, de souffrances et éventuellement de réflexions sur les moyens de les résoudre. Le groupe de parole est un cadre propice pour favoriser la réflexion, la coopération et la cohésion des personnes autour de thématiques partagées, choisies ou proposées. Il est fréquemment proposé à un personnel soignant comme espace pour exprimer des difficultés professionnelles.
Un groupe de parole est constitué par un regroupement d’individus, tous concernés par les mêmes préoccupations à un moment donné de leur vie. Il permet aux personnes impliquées un mieux-être psychologique qui autorise, de fait, des retombées relationnelles positives vis à vis des institutions.
Le but est d’offrir, à la fois un espace d’écoute et d’expression, où la parole peut être posée et entendue.
C’est un espace qui permet de communiquer efficacement, sur les difficultés rencontrées dans une problématique particulière, grâce aux échanges qui s’y produisent. C’est un lieu de partage, d'échange, d'écoute réciproque autour d'un thème dans lequel chacun est concerné. Ce lieu permet à chacun d’être authentique, sans crainte du jugement. Cet espace invite à l'expression des sentiments, des angoisses, des souffrances, et des émotions liées au sujet abordé (la tristesse, la peur, la colère, la joie). C’est un lieu où l’atmosphère créée encourage et ouvre à une solidarité apaisée entre les participants. Elle permet entre autres de mobiliser les ressources nécessaires pour affronter la réalité. La rencontre qui s’y déroule est génératrice d’un climat serein qui permet de réduire l'isolement psychosocial souvent générateur d’angoisse et de grande souffrance. Ce qui s’y joue permet à chacun de devenir acteur de son changement, stimulé par la créativité que génère le groupe.
Les groupes de parole sont généralement souhaités par des personnes qui travaillent ensemble, ou qui veulent réfléchir sur des problématiques et des difficultés similaires qu'elles rencontrent.
Le groupe de parole permet la coopération entre les membres d'une équipe, sollicite et structure une dynamique participative faisant appel aux ressources intra et interindividuelles. C'est un temps de rencontres actives qui met en évidence d'emblée la cohésion ou non du groupe. Le groupe de parole fait émerger les problématiques individuelles avec les problématiques collectives.
Le groupe de parole permet de sortir du risque de se fragiliser individuellement. Il peut s'agir des questions relatives à l'attachement et au deuil dans un service où les professionnels sont confrontés quotidiennement à la mort des patients …
Le groupe de parole permet de maintenir sa valeur ajoutée subjective, en renouvelant le regard porté sur ce qui semble être standardisé, répétitif ou monotone, en repérant et en révélant les parts personnelles, les perspectives subjectives et les points de vue de chacun pour des situations à priori similaires. Il peut s'agir de l'engourdissement physique, psychique et moral produit par le cantonnement dans des tâches répétitives (travail à la chaîne... ), ou dans des relations sociales ou professionnelles qui restreignent à une typologie de population trop spécifique (travail uniquement auprès de personnes en situation de handicap, d’ enfants, de personnes âgées... ).
Le groupe de parole procède, par sa dynamique pédagogique, participative et créative, à comprendre le système organisationnel qui régit les personnels. C'est un lieu de parole dans lequel se repèrent les organisations pyramidale, en étoile, en réseau, etc. Ce repérage des mécanismes organisationnels qui régissent le groupe permet d'appréhender les frontières et de tendre vers l'organisation la plus adéquate pour que chaque membre du groupe puisse trouver sa place et sa contribution.
Il peut s'agir aussi de notions ayant trait davantage avec la pression et l'empressement à produire, à être efficace et rentable … En effet, ces notions de rentabilité et de productivité sont parfois servies et desservies par des organisations du travail qui sont assez éloignées des possibilités ou des attentes des professionnels qui subissent plus qu'ils ne participent à l'organisation jugée inadéquate.
Ces demandes implicites créent souvent un véritable épuisement psychique dit "burnout". Cet épuisement psychique peut en partie être désamorcé par une analyse du travail au sein d'un groupe de parole.
En tant que Psychologue clinicienne, et en parallèle à mon activité en libéral (cabinet situé à Pontoise), j’interviens également dans les établissements médico-sociaux dans tout le Val d’Oise (95) pour animer des groupes « Analyse des Pratiques Professionnelles ».
La notion d'analyse des pratiques désigne une méthode de perfectionnement fondée sur l'analyse d'expériences professionnelles, dans le cadre d'un groupe composé de personnes exerçant la même profession.
Elle est utilisée le plus souvent par des métiers comportant une composante relationnelle prédominante, tels que médecins, professionnels dans le milieu médico-social, enseignants ou travailleurs sociaux, et postule que l'expérience est source de construction de savoirs.
Après accord sur une proposition de prestation écrite je propose une contractualisation de celle-ci. Les conditions de cet accord incluent :
L'analyse des pratiques se développe depuis les années 1940. Elle a été initiée par le psychanalyste anglais Michael Balint qui en a fait alors un outil de développement des pratiques relationnelles des médecins.
L'ouvrage « Le médecin, son malade et la maladie » de Michael Balint, postule l'importance déterminante de la relation patient/médecin dans le processus de guérison. Il part de la théorie psychanalytique et les notions de transfert et de contre-transfert pour expliquer ce qui est en jeu dans cette pratique relationnelle... Par la suite, les métiers du champ sanitaire et social, équipes soignantes et équipes éducatives travaillant dans diverses institutions vont avoir recours à ce type de dispositif, appelés Groupes Balint.
⇒ Le travail d'analyse de pratique relève de la prise de conscience de ses actions.
Ce qui fonde un groupe d'analyse des pratiques, c'est la demande des professionnels qui souhaitent y participer. Cette question est cruciale car dans le cas où l'institution prescrit une participation obligatoire à de telles rencontres, les résistances des participants sont telles qu'elles peuvent aboutir à un échec du dispositif ; ou bien l’institution propose cette participation au groupe d’analyse sur la base d'un engagement volontaire.
À la fois pour permettre des temps de parole suffisant et pour créer une ambiance d'intimité qui autorise la parole sur soi, un nombre de douze personnes est un maximum, sept ou huit étant préférable. Pour permettre de travailler cette question de la demande lorsque le dispositif est surtout issu de la commande institutionnelle, le psychologue propose un nombre de séances déterminées à l'issue desquelles les participants et le psychologue pourront se prononcer quant à leur désir de s'inscrire dans la continuité d'un travail. Cette question de la demande qui est fondatrice de la légitimité du lieu doit être régulièrement retravaillée avec le groupe.
L'idéal étant de disposer d'un local se situant en dehors du lieu de travail habituel afin d'éviter les interférences avec les tâches quotidiennes. Un des objectifs de ce type de travail étant la mise à distance du vécu professionnel, la configuration spatiale du lieu y participe de manière importante.
En général les séances se déroulent une fois par mois sur une durée de trois heures.
Pour pouvoir parler de la réalité de leurs pratiques, de ce qui peut faire problème pour eux, les participants doivent avoir confiance dans la capacité du psychologue et des autres participants à ne pas rendre publiques les paroles qu'ils confient au groupe. Certains psychologues appliquent une règle de silence totale à l'égard de la direction de l'institution sur ce qui se dit dans les groupes. D'autres, considérant qu'il pourrait y avoir un risque "d'enfermement" dans une vision exclusivement centrée sur la parole du groupe proposent des retours ponctuels sur l'avancée du travail dans les groupes, avec le commanditaire.
Le psychologue permet de structurer un espace de parole, offrant un autre regard sur l’activité quotidienne. Le travail est axé sur une analyse approfondie de situations, le psychologue se situant en dehors de toute relation hiérarchique. Son rôle favorise les échanges en toute sécurité, respect et bienveillance. Le psychologue d'un groupe d'analyse des pratiques doit être extérieur à l'institution qui fait appel à ses services. Le psychologue va, avec le groupe, réaliser ce travail sur les énoncés. Le plus souvent il s'agit de construire l'expérience en la verbalisant et en la confrontant aux regards croisés du groupe. Construire l'expérience, c'est en dégager les composantes subjectives et objectives, en comprendre la dynamique émotionnelle et affective.
Pour autoriser une parole sur l'expérience des participants, le psychologue ne doit pas se positionner en expert, en celui qui détient les réponses. Son rôle consiste à accompagner les professionnels dans l'élaboration des questions qu'ils se posent (ou qu'ils ne se posent pas …) sur leurs pratiques. Il peut également les aider à se dire avec un minimum de conflictualité ce qu'ils ne parvenaient pas à se dire jusque-là. Le psychologue est le garant du cadre des échanges ; respect des échanges, des silences etc. Sa pratique à cet égard peut être plus ou moins non-directive, il peut attendre que le groupe s'autorégule lui-même mais il doit avoir conscience des limites à ne pas franchir sans risquer de mettre en danger la pérennité du groupe. En fonction de la maturité des professionnels et de l'évolution du groupe, ses attitudes peuvent varier entre des moments ponctuels de "position haute" dans le savoir et des moments de "position basse" dans le non-savoir. Mais il ne peut user de position dans le savoir que très ponctuellement, sans quoi il risque d'invalider la dimension clinique du dispositif : il s'agit de travailler avec la singularité du vécu et de conférer à ce vécu un statut de "savoir" pour le sujet. Il doit aider le groupe à opérer ce que Christophe Niewiadomski nomme : "un retournement des modalités habituelles de production de savoir". Ce sont les professionnels qui sont les experts… de leur expérience.
Un groupe d'analyse des pratiques ne peut remplir ces fonctions que si un réel climat de confiance s’instaure entre le psychologue et les participants. Cette relation de confiance permet alors une parole impliquée des professionnels. Mais la parole authentique ne se décrète pas et il faut parfois traverser de longues périodes de résistances avant d'y parvenir. En tant qu'espace de parole libre, le groupe d'analyse des pratiques fait vivre aux participants des phases de régression provoquées par l'angoisse que génère un tel vide.
Ces phases peuvent se manifester par l'expression d'une plainte massive : « Ca sert à rien d’être là ». Le psychologue doit accueillir en lui cette plainte et la laisser se répéter afin qu'elle puisse permettre d'élaborer une pensée. Graduellement, les participants en viennent à se poser la question de ce qu'ils peuvent y faire.
La difficulté des situations que vivent les personnes qu'ils accompagnent, les manques de moyens pour faire face à leurs missions, les doubles contraintes imposées par les institutions, l'écart entre l'idéal professionnel et la réalité des pratiques amènent souvent les professionnels à ressentir une forme de souffrance psychique. Les groupes d'analyse de la pratique constituent un lieu pour élaborer ces difficultés et redonner du sens à ce qui est vécu. Une première phase du travail est donc ce que J.levine nomme la blessure narcissique. Elle se situe souvent du côté de ce que l'on n'arrive pas à faire, de ce qui nous renvoie à un sentiment d'incompétence, de nullité, autant de choses qui ne peuvent pas toujours s'avouer en réunion d'équipe, face à un hiérarchique qui est là pour évaluer notre travail. Dans le cadre des relations de travail quotidiennes, la tendance est de donner à voir une image de soi qui corresponde à celle qu'on se fait d'un bon professionnel. Il ne reste alors plus de place pour dire ce que nous éprouvons réellement et bien souvent, le temps nous manque.
Le fait de travailler avec un groupe sur des situations concrètes et sur la relation entre l’usager et le professionnel, permet de mesurer la dynamique de l’institution et son influence sur le groupe. Ainsi, le groupe d’analyse des pratiques devient un miroir grossissant de l’institution.
Si le regard institutionnel n’est pas assez «aimant» ou bienveillant, les salariés se sentent morcelés, insécurisés et cette situation va se refléter dans le groupe d’analyse des pratiques.
Dans un groupe d’analyse des pratiques, c’est la triade RSI : Réel/Symbolique/Imaginaire de J. Lacan qui se reflète et, finalement, le constat que « le groupe est plus qu’une somme d’individus » prend alors tout son sens.
C'est le temps des hypothèses, explicatives et compréhensives. Quelles sont les causes possibles à cette situation ? Quel sens lui donnons-nous ? Au nom de quoi agissons-nous ? On rejoint des concepts et cela permet de relier subjectivité et objectivité, singularité et universalité. On se situe à ce moment dans le sens étymologique du mot théorie : observer, méditer, mettre à distance.
L’analyse de la pratique doit permettre de donner du sens et de la cohérence aux interventions tout en intégrant la diversité des acteurs et les différences de points de vue.
► La recherche des réponses possibles
Interroger l'action c'est aussi se demander comment la rendre efficace. Si "ça rate", si "ça ne marche pas comme ça" comment pouvons-nous nous y prendre pour trouver de nouvelles façons de faire satisfaisantes ? Il arrive souvent que ce travail se fasse dans l'après-coup des séances. Tel groupe va évoquer ses problèmes de communication avec untel pendant deux séances de suite et lors de la troisième, il réalisera que la plainte a pu se transformer en demande clairement formulée et entendue par la personne concernée. Il n'y aura pas eu là de véritable analyse effectuée pendant la séance mais une simple question du psychologue : "Tout ce que vous dites là, pouvez-vous le lui dire à lui ?
Ne pas échanger ensemble les émotions, les difficultés, les décisions, peut obturer la bonne marche de la dynamique d’une équipe jusqu’à la mettre parfois en grande souffrance avec les répercussions que cela implique sur la population dont les professionnels s’occupent. L’analyse de pratique vient ainsi donner du sens et aider une équipe à maintenir son objectif et sa raison d’être.
► Objectifs récurrents des sessions d'analyse des pratiques
► L’objectif implicite est souvent :
Dès lors et afin de garantir le bon fonctionnement du groupe l’élaboration et le respect d’un cadre déontologique fixant les valeurs collectives, les règles de fonctionnement et les engagements de chacun est nécessaire. Si le groupe d’analyse des pratiques est avant tout un lieu de réflexion il peut arriver que des décisions explicites (ou implicites) y soient prises. Là aussi une clarification préalable permettra de fixer les limites utiles. Les limites et les règles de déroulement et d'animation des sessions doivent donc être fixées préalablement et connues de tous. Elles intégreront, outre celles convenues avec les intéressés (Commanditaire, participants..), les éléments d'une Charte déontologique.
Les intervenants portent un intérêt majeur à la dignité, l’intégrité, la vie, la qualité de vie et l’épanouissement des professionnels qu’ils accompagnent. Ils s’engagent à promouvoir les ressources propres aux groupes qu’ils animent et à chaque personne de ceux-ci. Ils prennent en compte les professionnels accompagnés dans leurs besoins, leurs émotions, leurs demandes et leur apportent un soutien constructif inconditionnel. Les intervenants contribuent à la réalisation de leurs missions en favorisant la compréhension des enjeux et la responsabilisation des personnes et des équipes. Ils travaillent à l’élargissement de la conscience des pratiques professionnelles et de leurs conséquences. Enfin, ils guident la recherche et l’élaboration vers les solutions les plus écologiques pour tous, c'est-à-dire les plus profitables psychiquement et susceptibles de donner du sens à la vie, aux relations ainsi qu’au travail d’accompagnement auprès des usagers.
Les intervenants sont tous issus des secteurs sociaux, médicosociaux, sanitaires ou d’un secteur annexe (éducation, formation…) et disposent d’une formation dans l’un de ces champs. Ils se sont spécialisés pour une part de leur activité dans l’Analyse des Pratiques Professionnelles et/ou l’animation de groupes de Parole. Ils disposent d’une expérience de professionnel de terrain et de l’animation de groupe d’Analyse des Pratiques et/ou de Parole. Ils sont en mesure de fournir une information claire sur la nature de leurs formations et de leur expérience.
Les intervenants ont eux- mêmes fait l’expérience de groupes d’Analyse des Pratiques en tant que participant où ils ont pu en mesurer l’intérêt et les limites. Par ailleurs, les intervenants s’engagent à recourir à une supervision régulière de leur propre pratique. Ils peuvent recourir à des supervisions individuelles ou collectives exceptionnelles selon les situations de terrain rencontrées. Ils peuvent dans le respect de la confidentialité des situations, prendre les conseils de leurs pairs les plus avisés. Ils sont engagés dans un cheminement d’évolution personnelle qu’ils reconnaissent comme indispensable à leur mission.
Les intervenants s’assurent que leurs interventions servent les meilleurs intérêts du commanditaire, des participants et des usagers. Ils veillent à agir avec un haut niveau d’intégrité et de fiabilité pendant toute la durée de la prestation. Ils vérifient la compréhension par tous de leur rôle, de leur mission et de ses limites. Ils fixent et annoncent dès le départ les objectifs, les règles de fonctionnement, d’animation et de restitution éventuelle et veillent au respect de celles-ci. IIs vérifient qu’ils ont la compétence à intervenir lors de la prise de commande comme en cours de prestation. Ils se réservent la possibilité de proposer d’autres orientations plus adaptées. Les intervenants garantissent le respect des engagements pris contractuellement et se tiennent à la règle de confidentialité, dans la limite que leur impose la loi et la réglementation Française. En aucune circonstance ils ne mettent à profit la situation pour en tirer des avantages non contractuels, que ceux-ci soient d’ordre financier, social ou sexuel. Si, au cours d’une prestation ils constatent que d’importantes divergences ne leur permettent plus de fonctionner selon les termes du contrat, ils sont dans l’obligation éthique d’y mettre fin en expliquant clairement les raisons de leur décision. Dans la mesure du possible, ils veilleront à proposer d’autres options à leur client.
Dans leurs propos et leurs actes les intervenants s’en tiennent à un devoir de réserve lorsqu’il s’agit de confrères comme des différents courants qui sous-tendent la pratique. Ils s’attachent à faire preuve d’ouverture d’esprit et de respect à l’égard de la diversité des conceptions existant dans le domaine de l’accompagnement des personnes et des groupes. Ils reconnaissent que nulle personne ou groupe ne peut se prévaloir de détenir la vérité en la matière.